L’artisanat et la Propriéte Intellectuelle

L’artisanat et la Propriéte Intellectuelle

Le législateur Burundais avait prévu la protection des producteurs et des créateurs d’œuvre dans la constitution de 2018 aux articles 58 et 75 ainsi que dans la loi du 30 décembre 2005 portant protection du droit d’auteur et des droits voisins plus précisément aux articles 8 ; 10 et 24.

  1. Place de l’artisanat dans l’esprit des parents d’autrefois

La culture  Burundaise ne considère pas l’artisanat au même titre qu’un salarié, ce dernier est plus accepte que son métier est plus rémunératrice que le second. Pour avoir grandi dans la pauvreté l’enfant de l’artisan va passer outre le savoir- faire de ses ascendants ; qui eux même ne vont même pas l’y encourager.

  1. L’artisanat au Burundi face à la réalité

L’artisan se heurte a pas mal de défis surtout d’ordre technique où il se rabat a un travail  manuel avec des outils rudimentaires ce qui entraine des répercussions dans la production lie à la lenteur et le produit de ses œuvres est concurrences sur le marché par d’autres produits artisanaux de haute qualité.

Néanmoins, on ne peut pas passer outre le manque de financement de la part des investisseurs suite à un handicap lie à la conception des projets par les artisans.

L’artisan Burundais  se voit limites également  par le manque du coaching par les experts qui lui aiderait à faire le marketing de ses produits finis.

Produire, empaqueter et nommer les produits fabriqués demeurent une autre étape décisive qui détermine même le débouché.

  1. Que faire, qui peut ?

 Un besoin d’encouragement émanant des dirigeants lui apporterait un soulagement sans oublier bien entendu l’appui technique qui lui permettra de diversifier les clients par des produits haut gamme.

  1. Quid des opportunités ?

L’intégration du Burundi dans des communautés régionales de développement est un atout incontournable vers la prospérité des secteurs de production dit tertiaire.

Cette intégration constitue l’ouverture tendant à accroitre le marché des biens et services vers l’unicité monétaire, et le renforcement de l’union des producteurs.

De ce qui précède, en effet, Un jumelage des artisans avec d’autres de la région œuvrant dans le même secteur pourrait leur servir de relais vers l’ouverture des horizons par le truchement des expositions, des foires,…

L’économie du pays où seront organisés de tels événements en profitera par l’entrée des devises, les participants ainsi que les invites logeront dans les hôtels du même pays sans oublier la consommation des biens et services conséquemment.

Le législateur Burundais avait prévu la protection des producteurs et des créateurs d’œuvre dans la constitution de 2018 aux articles 58 et 75 ainsi que dans la loi du 30 décembre 2005 portant protection du droit d’auteur et des droits voisins plus précisément aux articles 8 ; 10 et 24.

  1. Place de l’artisanat dans l’esprit des parents d’autrefois

La culture  Burundaise ne considère pas l’artisanat au même titre qu’un salarié, ce dernier est plus accepte que son métier est plus rémunératrice que le second. Pour avoir grandi dans la pauvreté l’enfant de l’artisan va passer outre le savoir- faire de ses ascendants ; qui eux même ne vont même pas l’y encourager.

  1. L’artisanat au Burundi face à la réalité

L’artisan se heurte a pas mal de défis surtout d’ordre technique où il se rabat a un travail  manuel avec des outils rudimentaires ce qui entraine des répercussions dans la production lie à la lenteur et le produit de ses œuvres est concurrences sur le marché par d’autres produits artisanaux de haute qualité.

Néanmoins, on ne peut pas passer outre le manque de financement de la part des investisseurs suite à un handicap lie à la conception des projets par les artisans.

L’artisan Burundais  se voit limites également  par le manque du coaching par les experts qui lui aiderait à faire le marketing de ses produits finis.

Produire, empaqueter et nommer les produits fabriqués demeurent une autre étape décisive qui détermine même le débouché.

  1. Que faire, qui peut ?

 Un besoin d’encouragement émanant des dirigeants lui apporterait un soulagement sans oublier bien entendu l’appui technique qui lui permettra de diversifier les clients par des produits haut gamme.

  1. Quid des opportunités ?

L’intégration du Burundi dans des communautés régionales de développement est un atout incontournable vers la prospérité des secteurs de production dit tertiaire.

Cette intégration constitue l’ouverture tendant à accroitre le marché des biens et services vers l’unicité monétaire, et le renforcement de l’union des producteurs.

De ce qui précède, en effet, Un jumelage des artisans avec d’autres de la région œuvrant dans le même secteur pourrait leur servir de relais vers l’ouverture des horizons par le truchement des expositions, des foires,…

L’économie du pays où seront organisés de tels événements en profitera par l’entrée des devises, les participants ainsi que les invites logeront dans les hôtels du même pays sans oublier la consommation des biens et services conséquemment.

Written by: Fidès Nibasumba
Published at: Tue, Sep 19, 2023 3:47 PM
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